Harvest

Guillaume Aknine : Guitare acoustique, banjo, harmonica, direction artistique.

Jean Dousteyssier : Clarinettes, harmonica, guitare.

Jean-Brice Godet : Clarinettes, harmonica, guitare, radio, dictaphones

 

PRESENTATION

« Une pièce de 40 min en hommage à un des plus beau disque de folk américaine des années 70. Autour de la musique du célèbre album de Neil Young « Harvest », le trio décompose, détricote et butine l‘original pour en extraire le suc, la matière brut. Peu d‘artifice, un peu d‘humour, beaucoup de bienveillance, pour proposer une relecture singulière de ce disque sous forme d‘émanations, d‘évocations, de suggestions.

Une interprétation poétique de l‘univers de Neil Young à un point clef de sa carrière. Ce projet, entre nudité absolue et bouillonnement intense ambitionne de sonder l‘état de l‘âme créatrice de l‘artiste au moment de la remise en question. »

Guillaume Aknine

PRESSE

« une écriture sensible et collective, un humour pince-sans-rire délicieux, c’est Harvest. A programmer d’urgence. »
Mathieu Jouan, CITIZEN JAZZ

« Parmi les créations à surveiller de très près, l’hommage rendu par Guillaume Aknine, Jean Dousteyssier et Jean-­Brice Godet au Harvest de Neil Young. Très beau moment !
Une création originale dont on a hâte de suivre l’évolution »
Olivier Acosta, MOZAIC JAZZ

« Harvest fut la vraie bonne surprise du festival. J’appréhendais un peu une histoire de hipster gomineux, de mecs cravatés dernier cri avec des chemises à carreaux à la con. Mais surtout j’avais peur du blasphème, de l’escroquerie qui ne ferait rien d’autre que de saboter le grand Neil. C’était arrivé l’année dernière avec les charlatans du groupe Les Patti Smooth. Avec mon équipe de bénévoles, on était prêt à tout chahuter en cas d’arnaque. Mais bon, il faut bien avouer qu’on s’était savamment planté sur cette affaire.

Ces trois types sont des génies, ils jouent, ils chantent, ils dansent, ils ont le feu sacré ! Ils ne sont pas là pour te servir des reprises un peu fadasses. Bien au contraire, leur musique transcende le mythe. Ils en prennent la moelle et te font des petits rajouts d’orfèvre par-ci par-là, tu comprends tout, c’est limpide, c’est brut, c’est fin, c’est tout droit pointé vers les cieux comme un séquoia ! Je vais les suivre sur les routes cet été, comme à l’époque, « no surrender », un bon vent de liberté dans la tronche ».

Daniela, bénévole au Hippie Jazz Fest

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